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De l’appel à la mission :

former des évangélistes
pour une société en recherche de sens

On dit que notre époque n’a jamais autant parlé.
Les écrans clignotent, les voix s’entrecroisent, les notifications s’enchaînent… et pourtant, un étrange silence règne dans le cœur de beaucoup.

Derrière cette agitation permanente, on croise des regards fatigués, des sourires polis, des vies saturées d’informations mais privées de sens.
Une génération connectée techniquement, mais souvent isolée intérieurement.

Un soir, dans un café presque vide, une jeune femme glisse : « Je parle à beaucoup de gens… mais je me sens toujours seule. »
Cette phrase résume une soif profonde, presque universelle : “Est-ce que quelqu’un peut vraiment me comprendre ?”

C’est dans cet espace fragile, entre une société en quête de sens et une Église porteuse d’espérance, qu’une question émerge : qui va aller ?
– Qui écoutera ceux que la vie a rendus muets ? – Qui rejoindra cette génération qui cherche sans le dire ?

Parmi les réponses que Dieu donne aujourd’hui, il y en a une qui se distingue :
les évangélistes — ces bâtisseurs de ponts.

On reconnaît souvent un évangéliste avant qu’il ne parle.

  • Son don commence par un regard.
  • Là où beaucoup ne perçoivent qu’un sourire, il discerne une blessure.
  • Dans un « ça va » trop rapide, il entend une fatigue.
  • Dans un silence, il devine une question.

Dans une société qui masque sa douleur sous des couches de performance, de spiritualités alternatives ou de développement personnel, il ne voit pas des égarés…

  • il voit des chercheurs.
  • Des cœurs en quête de sens.
  • Des âmes prêtes à écouter une bonne nouvelle authentique.

Mais ce regard unique, s’il n’est pas accompagné, peut s’essouffler ou se perdre. Certains évangélistes potentiels se sentent “trop sensibles”. D’autres se brûlent par excès de zèle. Beaucoup ne savent pas comment canaliser cette compassion intérieure.

Un appel non formé s’éparpille.
Un appel formé devient un instrument sûr, précis, humble.

C’est là que la formation devient essentielle : elle stabilise l’appel, affine le discernement et donne des outils.

2- L’évangéliste : un bâtisseur de ponts dans une génération qui doute

Une fracture culturelle sépare aujourd’hui l’Église et la société : langages différents, malentendus, blessures anciennes, préjugés.

L’évangéliste se tient exactement à cet endroit. Il choisit de traverser là où beaucoup hésitent. Il parle la langue de son époque sans diluer le message éternel. Il comprend les quêtes contemporaines tout en portant une espérance solide.

Mais bâtir un pont demande :

  • une compréhension fine de la culture,
  • un enracinement biblique,
  • une maturité émotionnelle,
  • un cadre,
  • une communauté pour ne pas s’épuiser.

Sans formation, on veut construire… mais les planches sont fragiles.
Avec formation, un évangéliste devient un artisan aguerri, capable d’ouvrir un passage là où il n’y avait que des murs. Et un pont, même petit, peut changer toute une vie.

3- Annoncer l’Évangile aujourd’hui : rejoindre les cœurs là où ils en sont

Dans les rues, au travail, dans les familles, un constat s’impose : les gens ont soif.

  • Soif d’écoute, de paix, de vérité, d’un sens qui ne s’effondre pas au premier choc.
  • Soif d’une spiritualité qui ne soit ni marchande, ni confuse, ni éphémère.

L’évangéliste répond à cette soif. Pas en distribuant des slogans, mais en incarnant une présence : en écoutant, en discernant.
En annonçant une bonne nouvelle adaptée à la réalité de chaque personne.

Mais pour porter une telle responsabilité, il faut :

  • une formation biblique solide,
  • une intelligence spirituelle,
  • des outils concrets pour accompagner,
  • des pratiques de terrain,
  • une structure pour rester stable.

L’évangéliste formé devient quelqu’un que Dieu peut utiliser avec efficacité et douceur, dans les rues, les cafés, les hôpitaux, les familles… partout où un cœur cherche sans le dire.

4- Pourquoi former des évangélistes ? Parce que la moisson est grande

Aujourd’hui, les gens ne franchissent plus spontanément la porte de nos églises. Ils ne connaissent pas les codes.
Certains sont blessés. D’autres indifférents. D’autres encore pensent avoir déjà “essayé la foi”.

Alors une réalité s’impose : si eux ne viennent pas, quelqu’un doit aller.

Qui expliquera ? Qui écoutera ? Qui donnera accès à l’Évangile d’une manière simple, profonde et réelle ?

Les évangélistes.

Mais un appel ne suffit pas : il faut être formé pour être envoyé.

Former un évangéliste, c’est :

  • préparer la mission d’aujourd’hui.
  • équiper l’Église pour demain.
  • semer dans la vie de ceux qui ne savent même pas encore qu’ils cherchent Dieu.

5- La formation des Évangélistes : un parcours qui façonne, équipe et envoie

La formation de Évangélistes (avril → octobre 2026) est conçue pour faire mûrir un appel, développer un ministère et construire des ponts solides entre l’Église et la société.

Elle offre :

  • un accompagnement personnalisé,
  • une communauté d’évangélistes,
  • un apprentissage biblique profond,
  • des outils pratiques pour évangéliser efficacement,
  • des sorties régulières sur le terrain,
  • un cadre pour discerner son mandat.

Ce n’est pas une simple formation :

  • c’est un parcours de transformation.
  • Un lieu où l’intuition devient vision,
  • la vision devient appel,
  • et l’appel devient mission.

Plus d’un participant témoigne :
« Avant, je sentais quelque chose. Après, j’ai compris que Dieu voulait m’envoyer. »

6- Une invitation personnelle : et si c’était ton moment ?

Il y a, dans chaque génération, des femmes et des hommes appelés à traverser les frontières que d’autres n’osent pas franchir.

  • Peut-être que tu te reconnais.
  • Peut-être que tu sens cette compassion, cette audace, cette sensibilité.
  • Peut-être que ton cœur bat quand on parle de mission, d’évangélisation, d’aller vers l’autre.
  • Ou peut-être que, dans ton église, tu vois des personnes prêtes mais non accompagnées.

La formation des Evangélistes existe pour les équiper.
Pour t’équiper.

Car les évangélistes ne naissent pas formés : ils le deviennent.

Conclusion : la moisson est là — maintenant, il faut des ouvriers

Notre société cherche du sens.
L’Église porte une bonne nouvelle.
Les évangélistes sont le pont entre les deux.

C’est maintenant que les ponts doivent être construits. Maintenant que les évangélistes doivent être formés, accompagnés et envoyés.
Et peut-être que ce “maintenant” — c’est pour toi.

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